Edifices religieux

1/7. Un millier d’églises à reconstruire après-guerre

Un millier de lieux de culte sont à reconstruire au lendemain de la guerre. Autant d’opportunités pour nombre d’architectes de faire œuvre de créativité, voire d’audace, au point parfois de soulever d’intenses débats avec les autorités religieuses et les fidèles.

2/7. Le Havre, Royan, Lourdes : le triomphe du béton brut

La Reconstruction marque véritablement le triomphe du béton armé. Il a permis aux architectes de l’époque d’exprimer toute leur inventivité et de traduire ainsi par ces formes et ses surfaces le mouvement de réforme qui a abouti à Vatican II.

3/7. Le renouveau de l’art sacré

L’église du plateau d’Assy marque un véritable tournant dans le renouveau de l’art sacré. Un mouvement initié avant-guerre et qui va révolutionner avec la Reconstruction et au début des années 50 l’architecture et le décor des lieux de culte.

4/7. Nouveaux plans, nouvelles formes

Grâce au béton armé et au mouvement catholique d’ouverture sur le monde, les architectes de la Reconstruction vont pouvoir faire preuve d’audace, tant qu’en ce qui concerne la disposition intérieure des églises que pour ce qui est de leurs formes.

5/7. Le Corbusier, un sens inné du sacré

Dans toute sa carrière, Le Corbusier n’a réalisé qu’une chapelle et un couvent. Il n’a conçu qu’une église, celle-ci sera construite après son décès. Et pourtant, Corbu est un maître absolument incontournable de l’architecture religieuse. 

6/7. Des édifices religieux de la Reconstruction improbables

Dans ce millier d’églises à reconstruire après la guerre, mais aussi parmi les édifices construits dans les années suivantes, certains pouvaient paraître à première vue véritablement improbables. Ils sont sortis de terre grâce à la volonté de leurs promoteurs ou à l’originalité de leur architecte.

7/7. Temples protestants et synagogues

Les destructions pendant la guerre n’ont épargné aucun lieu de culte. Les communautés protestantes et juives concernées ont donc dû s’organiser localement pour reconstruire leur temple ou leur synagogue grâce aux dommages de guerre et bien sûr aux dons.