L’originalité de cet ensemble immobilier ”préfinancé” par le M.R.U. contribua à la renommée de son jeune architecte Jean de Mailly qui participa notamment à la construction du CNIT à La Défense
Ce groupe d’immeubles HLM, inspiré par la Cité Radieuse de Le Corbusier, est sans conteste l’une des réalisations les plus marquantes de l’architecture du Mouvement moderne en Algérie.
Le Haut-du-Lièvre constitue le prototype des grands-ensembles construits par les pouvoir publics en France à partir de la fin des années 50 pour répondre à la pénurie de logements
Nombreux sont les entrepreneurs qui ont exploité après-guerre le nouveau créneau des constructions légères préfabriquées.
Mais nombreux, si l’on en croit cet article des Arts Ménagers de 1959 sont les occupants qui ont dû constater des malfaçons ou des surcoûts imprévus.
L’explication par les architectes de l’Atelier Perret de la conception et des principes constructifs des immeubles préfinancés par l’État de la place de l’Hôtel-de-Ville qui ont été les premiers bâtiments définitifs de la Reconstruction du Havre, plus quelques photos du chantier
Pour beaucoup, Sarcelles est l’archétype de la cité dortoir construite à moindre coût pour faire face à la crise du logement, le symbole des grands ensembles et de son rejet. Certes, mais son histoire mérite toute votre attention.
Parallèlement à l’action du MRU, on a vu se développer à la Libération, un mouvement d’entraide mutuelle au niveau local qui a rayonné ensuite sur l’ensemble du territoire. Le mouvement des Castors, dont a revue Urbanisme se fait l’écho en mai 1950
Le groupe d’habitation du ‘’Vieux Pont’’ à Nanterre est un parfait exemple d’une opération réalisée par deux architectes Prix de Rome à la fin des années 30. L’article a été publié en juillet 1951 dans la revue Techniques & Travaux.
Aux portes de Paris, rescelle en effet des trésors d’architecture. Fernand Pouillon, Denis Honegger, Émile Aillaud, trois architectes de la Reconstruction et des années 50, nous proposent chacun leur propre vision de l’habitat collectif. Trois visions singulières, mais remarquables à plus d’un titre.
Émile Aillaud réalise entre 1946 et 1949 à Creutzwald en Lorraine une cité ouvrière de plus de 250 maisons en béton préfabriqué baptisée ”Cité Bellevue”. Voici la description qu’il en a faite dans la presse de l’époque.
A la lecture de cet article publié en 1951 dans la revue Architecture Française on comprend mieux le cheminement qui ont conduit les architectes à concevoir ainsi l’un des premiers groupe d’immeubles construit sur les hauteurs de Boulogne-sur-Mer…à suivre
Cet article de l’architecte-en-Chef de St-Lô publié en septembre 1952 dans la revue Techniques & Architecture illustre bien le rôle de cette fonction, surtout lorsqu’il s’agit de piloter la reconstruction d’une ville qui a été quasiment rayée de la carte….à suivre
Rien de plus éclairant pour comprendre l’ambiance de l’époque que de découvrir ce que publie la revue Architecture Française en 1947 sur cette cité-jardin alors en construction à Dunkerque sur les emplacements des anciennes fortifications….à suivre
Figure importante du Mouvement Moderne avant-guerre, André Lurçat
fut, de 1945 jusqu’à son décès en 1970, l’architecte de la ville de Saint-Denis au nord de Paris…à suivre
Au lendemain de la guerre, l’architecte Marcel Lods fut chargé de la reconstruction de Sotteville-lès-Rouen. Aujourd’hui, l’un des rares exemples de mise en oeuvre en France des théories de Le Corbusier….à suivre